Jean Vanier est le fondateur des communautés de l’Arche qui rassemblent des personnes handicapées mentales ou non, souhaitant vivre, travailler et prier ensemble. Il commente l’évangile de ce jour
Les marques des blessures
Dans ces deux apparitions (à Marie Madeleine et à Thomas), nous pouvons contempler le corps ressuscité de Jésus, un corps qui porte les marques des blessures qu’il a subies. Un trou reste ouvert à son côté, de la largeur d’une main ; un trou reste dans ses mais, de la largeur d’un doigt. Ces blessures sont là pour toutes les générations de tous les temps, afin de manifester l’humilité, la patience infinie et l’amour inconditionnel de Jésus. Jésus ressuscité n’apparaît pas comme quelqu’un de puissant mais comme quelqu’un de blessé qui offre son pardon.
Ces blessures deviennent sa gloire. De la blessure de son côté ont jailli les eaux qui nous vivifient et nous guérissent. Par ses blessures, nous sommes guéris. A travers Thomas, Jésus invite chacun de nous à toucher non seulement ses blessures à lui, mais les blessures chez les autres et en nous-mêmes, blessures qui peuvent engendrer la haine, être signes de séparation, de division, mais qui peuvent être aussi transformées en signe de pardon, grâce à l’amour de Jésus, et unir les gens dans l’amour. Ces blessures et la faiblesse qui en résulte révèlent que nous avons besoin les uns des autres ; elles deviennent le lieu de la compassion réciproque et de l’action de grâce.
Nous montrerons aussi nos blessures lorsque nous serons avec lui dans le Royaume, dévoilant nos faiblesses et le pouvoir de guérison de Jésus.
Les marques des blessures
Dans ces deux apparitions (à Marie Madeleine et à Thomas), nous pouvons contempler le corps ressuscité de Jésus, un corps qui porte les marques des blessures qu’il a subies. Un trou reste ouvert à son côté, de la largeur d’une main ; un trou reste dans ses mais, de la largeur d’un doigt. Ces blessures sont là pour toutes les générations de tous les temps, afin de manifester l’humilité, la patience infinie et l’amour inconditionnel de Jésus. Jésus ressuscité n’apparaît pas comme quelqu’un de puissant mais comme quelqu’un de blessé qui offre son pardon.
Ces blessures deviennent sa gloire. De la blessure de son côté ont jailli les eaux qui nous vivifient et nous guérissent. Par ses blessures, nous sommes guéris. A travers Thomas, Jésus invite chacun de nous à toucher non seulement ses blessures à lui, mais les blessures chez les autres et en nous-mêmes, blessures qui peuvent engendrer la haine, être signes de séparation, de division, mais qui peuvent être aussi transformées en signe de pardon, grâce à l’amour de Jésus, et unir les gens dans l’amour. Ces blessures et la faiblesse qui en résulte révèlent que nous avons besoin les uns des autres ; elles deviennent le lieu de la compassion réciproque et de l’action de grâce.
Nous montrerons aussi nos blessures lorsque nous serons avec lui dans le Royaume, dévoilant nos faiblesses et le pouvoir de guérison de Jésus.