La vocation née d’une rencontre.
Les trois lectures de la Messe d’aujourd’hui nous parlent de trois personnes qui ont fait une vraie rencontre, d’où a émergé leur vocation. Grâce à leur rencontre avec Dieu, Isaïe s’offrit pour devenir Son prophète, Saint Paul accepta d’être témoin de l’Evangile pour tous les païens et Saint Pierre adhéra à la proposition du Christ de devenir pêcheur d’hommes.
Pour ces trois personnes saintes et vraies, le jour de la rencontre avec Dieu ne fut pas un jour comme les autres ; pour elles, ce jour-là ne ressembla à aucun autre : ce fut un événement qui changea leur vie, et elles la mirent au service de Dieu.
Il est important de noter que, dans ces trois cas, la vocation fut une mission de salut et que, pour Dieu, le péché et la fragilité des trois personnes appelées ne furent pas une objection à l’appel qu’Il leur adressait. Il leur pardonna, les purifia et leur donna la force pour la tâche à laquelle Il les invitait.
Tous trois reçurent la paix du pardon et devinrent missionnaires parmi les hommes, porte-paroles de Dieu et de Son Royaume, qui est un royaume de liberté, de justice, de vérité, de paix et surtout d’amour.
A Isaïe qui accueillit le cri divin : « Qui enverrai-je ? Qui ira pour nous ? », le Seigneur changea le cœur afin qu’il puisse répondre « Me voici, envoie-moi ». Ce grand prophète put répondre ainsi, parce que le Séraphin avait purifié ses lèvres avec le charbon incandescent. Mais ce geste angélique était la conséquence du fait qu’Isaïe avait rencontré Dieu et avait reconnu sa condition de pécheur.
A Paul, le Christ donna sa grâce et dit : « Si je te suis apparu, c’est pour te destiner à être serviteur et témoin de ce moment où tu m’as vu, et de ceux où je me montrerai encore à toi » (Act. 26,16b). Aussi pour l’Apôtre des gentils, la rencontre avec le Seigneur fut la condition qui transforma le sens de sa vie et lui permit de la vivre comme une mission. De persécuteur acharné, Paul devint le messager infatigable du Christ.
A Pierre, Jésus donna la force et la solidité d’une pierre, afin que le premier des Apôtres le suive sans fléchir. Ayant été l’un des co-protagonistes de la pêche miraculeuse, Pierre dit au Christ : « Eloigne-toi de moi, Seigneur, car je suis un homme pécheur ! Je ne suis pas digne d’avoir un Saint dans ma barque » (cf. Lc 5, 8) Mais le Rédempteur lui répondit : « Sois sans crainte, viens avec moi, crois à ma parole et je te ferai pêcheur d’hommes » (cf. Lc 5, 10). Et cet humble pêcheur de Galilée devint celui qui se mit à travailler pour pêcher des hommes, en les tirant de l’eau poissonneuse pour les mettre dans l’eau pure de l’amour de Jésus.
Les trois lectures de la Messe d’aujourd’hui nous parlent de trois personnes qui ont fait une vraie rencontre, d’où a émergé leur vocation. Grâce à leur rencontre avec Dieu, Isaïe s’offrit pour devenir Son prophète, Saint Paul accepta d’être témoin de l’Evangile pour tous les païens et Saint Pierre adhéra à la proposition du Christ de devenir pêcheur d’hommes.
Pour ces trois personnes saintes et vraies, le jour de la rencontre avec Dieu ne fut pas un jour comme les autres ; pour elles, ce jour-là ne ressembla à aucun autre : ce fut un événement qui changea leur vie, et elles la mirent au service de Dieu.
Il est important de noter que, dans ces trois cas, la vocation fut une mission de salut et que, pour Dieu, le péché et la fragilité des trois personnes appelées ne furent pas une objection à l’appel qu’Il leur adressait. Il leur pardonna, les purifia et leur donna la force pour la tâche à laquelle Il les invitait.
Tous trois reçurent la paix du pardon et devinrent missionnaires parmi les hommes, porte-paroles de Dieu et de Son Royaume, qui est un royaume de liberté, de justice, de vérité, de paix et surtout d’amour.
A Isaïe qui accueillit le cri divin : « Qui enverrai-je ? Qui ira pour nous ? », le Seigneur changea le cœur afin qu’il puisse répondre « Me voici, envoie-moi ». Ce grand prophète put répondre ainsi, parce que le Séraphin avait purifié ses lèvres avec le charbon incandescent. Mais ce geste angélique était la conséquence du fait qu’Isaïe avait rencontré Dieu et avait reconnu sa condition de pécheur.
A Paul, le Christ donna sa grâce et dit : « Si je te suis apparu, c’est pour te destiner à être serviteur et témoin de ce moment où tu m’as vu, et de ceux où je me montrerai encore à toi » (Act. 26,16b). Aussi pour l’Apôtre des gentils, la rencontre avec le Seigneur fut la condition qui transforma le sens de sa vie et lui permit de la vivre comme une mission. De persécuteur acharné, Paul devint le messager infatigable du Christ.
A Pierre, Jésus donna la force et la solidité d’une pierre, afin que le premier des Apôtres le suive sans fléchir. Ayant été l’un des co-protagonistes de la pêche miraculeuse, Pierre dit au Christ : « Eloigne-toi de moi, Seigneur, car je suis un homme pécheur ! Je ne suis pas digne d’avoir un Saint dans ma barque » (cf. Lc 5, 8) Mais le Rédempteur lui répondit : « Sois sans crainte, viens avec moi, crois à ma parole et je te ferai pêcheur d’hommes » (cf. Lc 5, 10). Et cet humble pêcheur de Galilée devint celui qui se mit à travailler pour pêcher des hommes, en les tirant de l’eau poissonneuse pour les mettre dans l’eau pure de l’amour de Jésus.