• Procession et adoration
Si le Jeudi saint met en évidence le lien étroit qui existe entre la dernière Cène et le mystère de la mort de Jésus sur la Croix, aujourd’hui, la fête du Corpus Domini, avec la procession et l’adoration communautaire de l’Eucharistie, attire l’attention sur le fait que le Christ s’est immolé pour l’humanité tout entière.
Il est le Dieu avec nous, l’Emmanuel, et nous sommes invités à l’apporter au monde : aujourd’hui, avec la procession, et chaque jour par le témoignage des pas de notre cœur, qui trouve sa stabilité dans son amour.
Que son passage, avec nous et par nous, à travers les maisons et les rues de notre monde, soit pour nous une offrande de joie, de vie immortelle, de paix et d’amour.
Le fait de montrer Jésus dans les rues du monde sous le signe sacramentel du pain consacré éduque aussi à le percevoir sous le signe de chacun de nos frères, sous le signe de tous les événements de notre vie. En apportant cet Évangile eucharistique dans le monde, nous apportons cette présence divine aux hommes et aux femmes de tous les temps, leur offrant la grande bénédiction de Dieu : Jésus-Christ en personne.
Et l’amour nous rassemble, nous invite à marcher en suivant le Christ avec les pas de notre cœur, nous appelle à l’adorer. De l’abime de notre être de créatures fragiles, nous ne pouvons qu’adorer : « De fait, l’adoration n’est que le sentiment de notre néant, mais ce n’est pas un sentiment qui avilit, ce n’est pas un sentiment qui nous humilie : c’est un sentiment d’humilité, mais non d’humiliation, parce que l’âme expérimente son néant dans la mesure où elle se rend présente devant la grandeur absolue » (Divo Barsotti). De l’adoration naissent la familiarité et la confiance parce que l’adoration eucharistique est l’adoration du Dieu qui est l’amour immense, la grâce infinie et la miséricorde sans limites.
Si le Jeudi saint met en évidence le lien étroit qui existe entre la dernière Cène et le mystère de la mort de Jésus sur la Croix, aujourd’hui, la fête du Corpus Domini, avec la procession et l’adoration communautaire de l’Eucharistie, attire l’attention sur le fait que le Christ s’est immolé pour l’humanité tout entière.
Il est le Dieu avec nous, l’Emmanuel, et nous sommes invités à l’apporter au monde : aujourd’hui, avec la procession, et chaque jour par le témoignage des pas de notre cœur, qui trouve sa stabilité dans son amour.
Que son passage, avec nous et par nous, à travers les maisons et les rues de notre monde, soit pour nous une offrande de joie, de vie immortelle, de paix et d’amour.
Le fait de montrer Jésus dans les rues du monde sous le signe sacramentel du pain consacré éduque aussi à le percevoir sous le signe de chacun de nos frères, sous le signe de tous les événements de notre vie. En apportant cet Évangile eucharistique dans le monde, nous apportons cette présence divine aux hommes et aux femmes de tous les temps, leur offrant la grande bénédiction de Dieu : Jésus-Christ en personne.
Et l’amour nous rassemble, nous invite à marcher en suivant le Christ avec les pas de notre cœur, nous appelle à l’adorer. De l’abime de notre être de créatures fragiles, nous ne pouvons qu’adorer : « De fait, l’adoration n’est que le sentiment de notre néant, mais ce n’est pas un sentiment qui avilit, ce n’est pas un sentiment qui nous humilie : c’est un sentiment d’humilité, mais non d’humiliation, parce que l’âme expérimente son néant dans la mesure où elle se rend présente devant la grandeur absolue » (Divo Barsotti). De l’adoration naissent la familiarité et la confiance parce que l’adoration eucharistique est l’adoration du Dieu qui est l’amour immense, la grâce infinie et la miséricorde sans limites.