Dimanche 12 février, possibilité de recevoir l'onction des malades lors de la messe supplémentaire célébrée à 15h au mur à gauche.
Réflexion de Mgr Rouet sur le sacrement de l'onction des malades.
C’est le sacrement qui nous permet de réagir chrétiennement devant le malheur (…) Le moment du face-à-face avec la mort, le moment de la maladie grave, est un moment dangereux pour la foi (…) Au moment où je touche ma précarité, ma vulnérabilité, est-ce que je vais être capable, dans un sursaut, de faire confiance à Dieu ? Nous ne pouvons le dire tout seul, (…) ce serait peut-être encore un dernier acte de gloriole. C’est pourquoi il faut que le Christ, qui a connu notre précarité, notre vulnérabilité (…) vienne en nous, nous donner son acte d’offrande. Le sacrement des malades est donc ce sacrement, quand la vie est en péril, où le Christ nous apprend à vivre son agonie (…) C’est l’acte de foi et d’espérance le plus radical qu’une créature puisse faire envers le Père qui l’a créée : « Père, entre tes mains, je me remets tout entier »
Réflexion de Mgr Rouet sur le sacrement de l'onction des malades.
C’est le sacrement qui nous permet de réagir chrétiennement devant le malheur (…) Le moment du face-à-face avec la mort, le moment de la maladie grave, est un moment dangereux pour la foi (…) Au moment où je touche ma précarité, ma vulnérabilité, est-ce que je vais être capable, dans un sursaut, de faire confiance à Dieu ? Nous ne pouvons le dire tout seul, (…) ce serait peut-être encore un dernier acte de gloriole. C’est pourquoi il faut que le Christ, qui a connu notre précarité, notre vulnérabilité (…) vienne en nous, nous donner son acte d’offrande. Le sacrement des malades est donc ce sacrement, quand la vie est en péril, où le Christ nous apprend à vivre son agonie (…) C’est l’acte de foi et d’espérance le plus radical qu’une créature puisse faire envers le Père qui l’a créée : « Père, entre tes mains, je me remets tout entier »