Réflexion sur l’évangile de ce jour :
Qu’il s’agisse du « bon grain », de la « graine de moutarde », ou du « levain » dans la pâte, il est chaque fois question de la croissance mystérieuse du Royaume. Les deux semeurs et la femme qui prépare la pâte sont des gens d’espérance : ils font confiance à la semence et au levain. Dans l’autre parabole, en revanche, un « ennemi » survient et sème de l’ivraie qui risque d’étouffer le bon grain. Jusqu’au temps de la moisson, c’est-à-dire du Jugement, le bien et le mal coexistent. On peut rêver d’éradiquer le mal. Mais seul le maître qui a semé le bon grain pourra faire ce tri.
Ce maître et l’image même d’un Dieu de miséricorde, qui demeure patient par rapport à tous et leur accorde, aux mauvais comme aux bons, le temps du repentir et de la conversion.
Qu’il s’agisse du « bon grain », de la « graine de moutarde », ou du « levain » dans la pâte, il est chaque fois question de la croissance mystérieuse du Royaume. Les deux semeurs et la femme qui prépare la pâte sont des gens d’espérance : ils font confiance à la semence et au levain. Dans l’autre parabole, en revanche, un « ennemi » survient et sème de l’ivraie qui risque d’étouffer le bon grain. Jusqu’au temps de la moisson, c’est-à-dire du Jugement, le bien et le mal coexistent. On peut rêver d’éradiquer le mal. Mais seul le maître qui a semé le bon grain pourra faire ce tri.
Ce maître et l’image même d’un Dieu de miséricorde, qui demeure patient par rapport à tous et leur accorde, aux mauvais comme aux bons, le temps du repentir et de la conversion.